Après 14 ans d’exploration musicale, le producteur Diskay dévoile enfin son premier album « Anthema ». Il retrace tout son parcours, et permet au producteur d’affirmer son style. Pour les fans de NTO ou encore Thylacine, ça va vous plaire !

Diskay sort son premier album !


Malgré son jeune âge, Diskay possède déjà 14 ans de carrière au compteur. Du haut de ses 13 ans, il décide de se lancer dans la création musicale. Et son choix fût judicieux, puisque plus de 10 ans plus tard, il cumule plus de 50 millions de streams, avec 300 000 auditeurs mensuels sur Spotify. Après plus de 30 singles et 5 EP, il est temps pour Diskay de nous dévoiler « Anthema« , son premier album. Ce projet se veut fédérateur autour de sa musique, d’où le nom découlant du mot « anthem« , signifiant « hymne« . En terminant le mot par un « a« , il lui donne un aspect latin, qui couplé avec le visuel de l’album, renforce son lien avec l’Antiquité. Le nom et le visuel du projet se sont révélés naturellement, car pour le producteur, l’album, avec ses harmonies et son piano, fait écho à un univers ancien et mythologique. « Anthema » nous propose ainsi 13 titres, dont 6 inédits.

On commence notre aventure avec « Momentum« , en guise de prélude. Le morceau allie une harmonie complexe à une orchestration épurée. Il met aussi en valeur les trois piliers de l’album : le piano, le violoncelle et l’exploration harmonique. C’est ensuite à « Foundation » de nous faire frissonner. C’est d’ailleurs le premier titre que Diskay a sorti en 2024 (en mars pour être précis), et il symbolise un retour aux sources pour lui. Le titre prend d’ailleurs une partie de son inspiration dans l’univers des livres d’Isaac Asimov. Troisième point d’étame avec « Emporia« , sorti en avril 2024. C’est le premier titre énergique et dansant du projet. Il débute par un arpège ternaire de piano qui s’accélère progressivement, puis vient se superposer à un beat binaire pour former des triolets qui lancent le morceau avec puissance.

Toutes nos actus sur Diskay sont à retrouver ici !

Juste après, on repasse à la douceur avec « Valse Douloureuse« . Diskay souhaite ainsi montrer qu’il n’a pas de limite quant au style de musique qu’il peut produire. Ensuite, « Tales Of Anima » vient nous réchauffer avec une house lente et groovy. Le producteur propose une version de « piano house » au tempo réduit, pour apprécier les subtilités harmoniques. « Entity Of Kindness » continue notre voyage avec un presque solo de piano. Ici, Diskay puise son inpiration du côté de Nils Frahm. Le septième track, « Mystery Of Dawn« , est le premier du projet a avoir été composé. C’est même lui qui a donné l’envie au producteur de produire ce premier album.ll établit les lignes directrices de l’univers timbral et harmonique. Il est sorti en octobre 2023.

« Sirius » est certainement le morceau le plus orienté club de l’album. C’est un mélange de mélodique techno à la NTO et de french électro. Il est évident que Diskay a conçu ce track dans l’optique de la jouer en live. Juste après, on découvre « Odelnomia« , un morceau scindé en 2 parties. La première est une introduction symphonique de deux minutes, faisant penser à une musique de film de science fiction. Une fois la transition faite, par le biais d’un arpège au piano, l’harmonie évolue, puis un beat puissant s’introduit. Cette partie nous rappelle légèrement “Emporia”. On fait un retour sur l’aspect club de Diskay avec « Solar Soil« .On peut y entendre des sons synthétiques qui rappellent French 79, des rythmes et rengaine à la manière de Thylacine, ainsi que des passages à l’esthétique électro-orchestrale inspirée de Worakls. Diskay mentionne également s’être inspiré des œuvres de Ludwig Göransson (Oppenheimer) et de Hans Zimmer (Dune).

Diskay vous donne rendez-vous le 20 mars 2025 à Paris pour la release party de cet album !

Avant dernier titre avec « Approach« . Le titre s’ouvre avec deux accords dégageant une tension particulière. Ils sont inspirés de « Everything In It’s Right Place » de Radiohead, que le producteur a réentendu dans « The Creator » de Gareth Edwards. On termine notre périple avec « Novus« , le treizième morceau du projet. Il mélange piano, cordes frottés et theremin. Il est marqué par son rythme singulier et sa basse grondante. « Novus » invite à la contemplation, évoquant une atmosphère rêveuse, comme sortie d’une bande-son imaginaire. Ce morceau évoque aussi une phase de transition personnelle pour l’artiste, une fin de cycle qui laisse place au renouveau. Il marque la fin de l’album tout en ouvrant la voie à de nouvelles perspectives.

Diskay nous signe son projet le plus ambitieux, qui recense toutes ses inspirations personnelles. C’est un album émouvant et donnant des frissons, tout en abordant plusieurs facettes musicales de l’artiste. Bravo à lui et au label Pavillonn pour cette signature ! Maintenant, rendez-vous le 20 mars prochain à Péniche Antipode pour découvrir « Anthema » en live !

« Anthema » est disponible partout !

Bonne écoute !

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