Le week-end dernier avait lieu la seconde édition du Hope Festival à Toulouse. Nous étions sur place et on va détaille ces deux magnifiques journées de folie.
Ce festival, en open air, organisé par l’un des clubs les plus réputés de la ville rose, l’Opium Club a accueilli pendant 2 jours une belle poignées d’artistes, et de nombreux adeptes de la musique électronique. Sur scène nous avons pu voir des têtes connues de la scène Toulousaine, qui avaient déjà participé à la première édition du Hope, et de nouvelles têtes, qui faisait, pour certaine, leur première apparition en France.
ORGANISATION
Nouveauté aussi cette année concernant l’organisation. Le festival disposait pour la première fois de deux scènes, contrairement à la première édition. Ces deux scènes ont été sponsorisées pendant ces deux jours par 2 labels mondialement reconnus : Axtone, Spinnin’ qui ont pris en charge la programmation de la MainStage. Pour la seconde scène, l’Hexis Stage, la programmation a été géré d’une main de maître par les médias Clubbing House, ainsi que Guettapen.
VENDREDI
Premier jour et première fois que nous mettons les pieds dans ce festival. Ce dernier, très facile d’accès, dispose d’un parking relativement grand pour accueillir une bonne parti des festivaliers. Possibilité également pour les locaux de se rendre sur place en métro, bus ou tramway, situé à proximité de l’hippodrome. Seul petit bémol, le temps d’attente relativement long pour récupérer les bracelets à l’entrée, chose que l’organisation a vite sur réajuster le lendemain.
Une fois à l’intérieur, aux environs de 19h30, on retrouve la petite scène, l’Hexis Stage sur la droite, qui commence à se remplir petit à petit. On notera également beaucoup d’attente pour le cashless, mais des prix relativement correct pour les boissons et la nourriture proposées.
20h nous nous rendons sur la MainStage. Scène répondant aux attentes niveau esthétique. Aux platines Danny Avila, et un public qui semble réceptif. 21h nous nous rendons sur l’Hexis Stage, pour la première apparition de Wax Motif en France. A base de sons bass house, il a su rapidement capter le public et créer des logos tout au long de son set, pratiquement à chacun de ses drops, notamment sur « Concentrate » de Anti-Up, « Made in France » du clan PMF ou encore son dernier morceau « Divided Souls« , et ça pour notre plus grand bonheur.
©Dorian Narayana [Clubbing House]
Entre 22h et 23h nous avons vagabonder entre les deux scènes, n’ayant pas pu choisir en Magnificence et Ummet Ozcan. Une belle première journée donc. Le festival se terminant à minuit, il était possible pour les plus courageux d’entre nous de participer à l’after party, prévue à l’Opium Club, lors de laquelle on a pu assister à un sympathique b2b entre Danny Avila, Wax Motif et Cesqueaux.
SAMEDI
Samedi grosse journée annoncée avec notamment, en closing du festival, l’international tonton Benassi. Malheureusement nous apprendrons en début de soirée qu’il ne pourra pas se rendre au festival, problème de vol. L’organisation a plutôt bien géré le problème, en rallongeant les sets les plus courts.
18h30 Tom Staar entre en piste. L’impression d’avoir davantage de festivaliers que la veille, une scène remplie plus rapidement. Set house, influences tribal, tout à fait correct pour entamer le début de soirée. On prendra en compte également le volume sonore augmenté par rapport au vendredi soir. Vient ensuite le set des Chocolate Puma, fidèles à eux mêmes, présents pour leur deuxième édition au Hope.
Nous finissons la soirée sur l’Hexis Stage, avec la Barong Family. Set 100% house, 200% pogos pour Moksi. Excellente clôture pour Mike Cervello.
©Dorian Narayana [Clubbing House]
Merci à toute l’équipe du Hope pour leur accueil ! A l’année prochaine !