Onze ans après avoir foulé pour la toute première fois la scène mythique de l’Olympia, Fakear y revient. Et cette nouvelle date, fixée au 9 octobre 2026, résonne déjà comme un moment charnière dans la trajectoire d’un artiste en perpétuelle renaissance.
2015–2026 : un chemin parcouru, une histoire qui continue !
On s’en souvient encore : le 8 octobre 2015, Fakear vivait son premier Olympia. Un aboutissement. Un symbole. Le couronnement d’un jeune producteur qui, deux ans plus tôt, avait fait irruption avec un EP devenu culte : « Morning in Japan ». À l’époque, tout s’enchaîne : Solidays, Garorock, les Eurockéennes, les Francofolies… Fakear fait salle comble partout.
Son univers électronique, organique et incarné trouve son public, et son premier Olympia se joue sold out, porté par ses musiciens, un dispositif scénique inédit et une nuée d’invités. C’était l’entrée dans une nouvelle dimension. Aujourd’hui, c’est une nouvelle ère.
2026 : un Fakear plus libre, plus mature, plus audacieux
Si Fakear remonte sur la scène de l’Olympia en 2026, c’est après une décennie de transformation constante.
Les albums « Talisman« et « Hyper Talisman« , ses tournées introspectives, ses collaborations, ses explorations drum’n’bass, et surtout sa mixtape « Open World« , dévoilée en décembre 2025, témoignent d’un artiste qui ne cesse d’élargir sa palette.
Ces derniers mois, Fakear s’était offert un road trip musical atypique : un bar à vélo, un appartement, une Biocoop… autant de lieux inattendus pour renouer avec le réel, créer du lien, se ressourcer.
En résulte « Open World », 11 titres libres, sincères, vibrants, un avant-goût d’un nouvel album prévu pour le printemps 2026. Ce nouvel Olympia viendra sceller cette période foisonnante. Un moment pour rassembler toutes ses facettes : la douceur organique, la tension électronique, l’émotion brute, les paysages intérieurs et les voyages sonores.
> Voir notre article sur « Open World » <
Un concert qui s’annonce déjà unique
Si le premier Olympia était celui de l’éclosion, celui du 9 octobre 2026 sera celui de la maturité. Fakear y présentera ses nouveaux morceaux, une scénographie renouvelée, une esthétique qui évolue au rythme de son monde intérieur, et peut-être quelques surprises, comme il l’avait fait en 2015 en invitant des artistes proches de son univers.
On imagine déjà : une salle rouge plongée dans la pénombre, les premières notes suspendues, les textures électroniques qui se déploient comme un souffle, une foule qui danse, et cet éternel mélange de fragilité et de puissance qui caractérise Fakear depuis ses débuts.
Dans une scène électronique française en pleine mutation, Fakear continue d’avancer avec une rare sincérité. Il explore, il questionne, il se réinvente. Et ce nouvel Olympia endosse alors une dimension symbolique : celle d’un retour, mais aussi d’un nouveau départ.
Le rendez-vous est pris : Fakear – Olympia, Paris – 9 octobre 2026
Un moment à ne pas manquer pour tous ceux qui suivent son histoire depuis « La Lune Rousse » et pour ceux qui l’ont découvert hier.
